

À partir de Trois-Rivières les marées se font sentir. C'est mon intention d'utiliser celles-ci afin de gagner de la vitesse. En effet, en partant avec la marée lorsqu'elle commence à descendre, je peux presque doubler ma vitesse. Comme vous pouvez le constater sur la vidéo ci-dessous, sans pagayer j'avais une vitesse de 11,5 km/hre.
Par contre, une fois cette force motrice utilisée, je me retrouve à marée basse, donc très loin de mon site de camping situé en lieu sûr sur la rive sèche. Je dois donc utiliser un petit chariot sur lequel je positionne le kayak. Je peux ainsi tirer mon kayak jusqu'à la terre ferme. Voir la photo.
La journée s'est bien passée, rien de particulier à signaler, à part la température très froide de ce matin. Le fleuve était calme. J'ai pu m'amuser dans les vagues de trois cargos que j'ai croisés. Je dois ralentir la cadence pour être présent à des rencontres à l'horaire : Radio-Canada Télé demain et trois rencontres à des marinas de la région de Québec.
Surprise ce soir! Mon oncle Christophe est venu me rendre visite avec un copain en kayak. Christophe nous a grandement aidés, mon père et moi, dans les préparatifs de ce projet. Un gros merci, tonton Christophe.
Louis-Piérick (compte rendu préparé par Yvan Guay)
Dernière position sur la carte Novicom.
N'oubliez pas de parler du projet à vos amis et encouragez-les à faire un don par le biais de mon site à la Société canadienne du cancer.